lorsque la structure du site est un reflèt l’intention du praticien

Il y dispose de journées qui ne décident pas. Des évènements étirées, sans manigance, sans cran fixe. On prénotion, mais chaque geste semble reporté. Tout est flottant, par exemple si la vie s’était délicatement décalée. il n'est pas un grand fléau. C’est plus discret, plus lent. Une catégorie de trouble diffus. Le genre de trouble qu’on ne raconte pas. Qui ne se voit pas. Mais qui prend toute la place à l’intérieur. Ce jour-là, la luminosité semblait se maintenir en surface. Les mots que j’utilisais étaient adorables, mais ne disaient rien. J’étais là, fonctionnel, mais à côté. L’intuition, elle, ne criait pas. Elle murmurait. Mais je n’arrivais pas à se plaire ce qu’elle disait. Il y avait une tension, une conduite à prendre par contre, mais floue. Un signal peu élevé, mais forçant. Pas relativement mémorable pour me mettre en degré. Trop marquant pour que je l’ignore. Je savais que ce n’était pas une interrogation d'opinion. J’avais déjà tout analysé. Trop. Et néanmoins, rien ne se posait. Ce qu’il me fallait, ce n’était pas une témoignage. C’était une vision, un écho. Quelque chose de plus vaste que mes descriptifs. Un autre regard, qui ne chercherait pas à m’orienter, mais à m’éclairer, tout de suite ce qu’il est préférable de lire pour que le chemin se redessine de lui-même. Ce genre de besoin ne se formule pas facilement. Il est mieux de voir un endroit pour cela. Un centre qui sache accueillir ce qui ne se amené pas encore de façon plus claire. Un endroit sans bruit, sans pression. Où l’on est en capacité de utiliser sa demande sans avoir été réduit à une case. Pas un service ignoré. Pas un sens esthétiques. Une rapide présence. Et ce jour-là, c’est technique poétique là que je me suis tourné, presque naturellement.

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